Dès l'aube, sur le seuil de leur porte, les femmes de l'Inde du Sud réalisent
des peintures éphémères qui s'effaceront au gré des passages et de
l'agitation de la journée. Ces kolam souvent dédiés à la déesse de la bonne
fortune, offrent l'hospitalité à cette dernière et repoussent les influences
néfastes hors de la maison.
Nul besoin de savoir dessiner pour cette journée de découverte !
Visite du site du musée Guimet : www.guimet.fr
Visite du site de Chantal Jumel : www.chantal-jumel-kolam-kalam.com
Avec de la farine de riz, des réseaux de points, quelques motifs simples,
Chantal Jumel propose une expérience culturelle et esthétique liée à un des
arts les plus populaires de l'Inde du Sud.
Diplômée de l'Ecole pratique des Hautes Etudes, Chantal Jumel a appris en
Inde l'art des peintures éphémères. Cette approche pratique et esthétique
lui a permis d'entrer dans l'intimité d'une réalité vivante, à la fois artistique,
religieuse et sociale. Elle vient de rédiger un ouvrage sur les kolam aux
éditions Geuthner.
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